Cet article est une ébauche. Vous pouvez aider Neon Genesis Evangelion Wiki FR en le complétant. |
Tatsunoko Production Co., Ltd. (株式会社タツノコプロ Kabushiki gaisha Tatsunoko Production?) est un studio d'animation japonaise fondé en 1962. Il produit plusieurs franchises aujourd'hui cultes dont Speed Racer et Gatchaman. En France, le studio est aussi connu pour la série Cynthia ou le Rythme de la vie ou pour avoir animé la série Il était une fois... l'Homme.
Histoire[]
1962-1965 : naissance de Tatsunoko[]
Tatsunoko Production est fondé à Tokyo le 19 octobre 1962 par le mangaka Tatsuo Yoshida avec son frère Kenji Yoshida. Ils sont rapidement rejoints par leur autre frère Toyoharu Yoshida, connu sous le nom d'artiste Ippei Kuri. Ensemble, ils prennent la direction de l'entreprise qui se concentre sur la gestion des droits d'auteur dans le domaine du manga et apportent une assistance juridique aux artistes.
Tatsuo s'intéresse au monde de la télévision. Il imagine une série tokusatsu adaptant son manga Ninja butai gekkō, produit par le studio Kokusai Hoei. C'est la même année que le studio est approché par Toei Animation pour un projet d'adaptation en série animé du manga Z Boy de Ippei Kuri. Mais Tatsunoko propose plutôt d'adapter Space Ace dessiné par Tatsuo. Un partenariat se forme entre les deux compagnies et la Toei forme les membres de Tatsunoko Production à l'animation[1]. Cependant, un problème autour de la répartition des droits d'auteurs les empêche de continuer et la production est annulée[2][3]. Finalement, la Toei produit la série Uchū Patrol Hopper et Tatsunoko produit seul Space Ace[4]. Le studio recrute une soixante de nouveaux membres en novembre 1964, et s'installe à Kokubunji. Cet emplacement lui permet d'être proche de Toei Animation et de Mushi Production dont certains artistes apportent leur aide à la production de Space Ace[1][5]. La diffusion de la série en noir et blanc débute en mai 1965[6] sur Fuji TV.
1965-1970 : Speed Racer et Judo Boy[]
Le petit succès de cette première série permet à Tatsunoko de confirmer sa position comme studio d'animation et il n'hésite pas à s'agrandir lors de la deuxième partie de la diffusion. Parmi eux se trouve Eiji Tanaka qui rejoint Tatsunoko en février 1966 après avoir été l'un des assistants d'Osamu Tezuka, et avoir fondé le studio Tama Pro avec son frère l'année précédente. Il recrute aussi du personnel pour manipuler la caméra dont le studio a fait l'acquisition. Elle lui permet de plus sous-traiter au studio Nezu Pro l'étape de photographie des celluloïds et rend Tatsunoko beaucoup plus indépendant. Le studio souhaite être plus ambitieux. Au début de l'année 1966, il demande à Fuji TV de prolonger la production de Space Ace pour de nouveaux épisodes en couleur, mais la chaîne de télévision refuse. La série s'arrête en avril 1966. Tatsunoko se lance rapidement dans la production d'une nouvelle série télévisée originale mélangeant deux créations de Tatsuo Yoshida et de Ippei Kuri : Mach GO GO GO. Mais cela implique des coûts plus importants, d'autant que la compagnie souhaite que la série soit en couleur. Elle s'endette à hauteur de 100 millions de yens auprès notamment de Fuji TV et la maison d'édition Shūeisha[1]. La diffusion débute en avril 1967 au Japon[7]. Tatsunoko compte beaucoup sur l'aide de Eiji Tanaka[8]. La série est exportée dès l'été suivant aux États-Unis où elle est diffusée sous le nom Speed Racer[9]. La série est un succès et permet à Tatsunoko de lancer en parallèle la production d'une troisième série, humoristique et en noir et blanc, nommée Orâ Guzura Dado. Cela va devenir l'habitude du studio de produire en même temps une série d'actions et une série comique[1].
À la fin des années 1960, le studio souhaite se lancer dans la réalisation d'une adaptation du manga Judo Boy écrit par Ippei Kuri et dessiné par Tatsuo Yishida en 1961. N'ayant pas connu le succès lors de sa première publication, le manga connu une suite en 1968 pour accompagner la sortie prochaine de la série télévisée[10]. Cette stratégie commerciale avait déjà été utilisé pour la sortie de Space Ace et de Speed Racer. La série Judo Boy représente à l'époque le summum de ce que produire Tatsunoko Production, seulement un an après la production de Speed Racer, et séduit le public avec son exotisme, la beauté de ses images (notamment le soin apporté aux couleurs et aux ombres) et sa mise en scène. La série propose plusieurs innovations comme le découpage de l'animation dans l'introduction, ou de nombreux mouvements de caméra créés par le département photographique du studio. L'équipe d'animation du studio fait face à plusieurs difficultés, mais parvient à surmonter les obstacles, notamment grâce à l'aide de Eiji Tanaka qui s'implique énormament dans la production de l'animation[8].
1970-1975 : Croissance en période de crise[]
Judo Boy participe à l'émergence du style gekiga, ayant pour cible un public adulte avec des thématiques actuelle voir de problème sociaux, et dans une esthétique expressionniste et réaliste. Cela influe sur l'animation mecha dans les années 1970, éloigné du style de Tetsujin 28-gō, avec la sortie du film Le Vaisseau fantôme volant (1969) et de la série Mazinger Z (1972). Hayao Miyazaki et Yasuo Otsuka participent aussi à ce courant avec leurs animations de véhicule dans la série Lupin III (1971). Tatsunoko participe aussi à cela avec la production de la série animé Ketsudan, qui mêle animation et documentaire sur l'empire du Japon pendant la Seconde Guerre Mondiale, adapté des écrits de l'historien Noboru Kojima[11]. La série a été produite sous l'impulsion de la compagnie Sapporo Breweries, dont plusieurs cadres seraient des vétérans de l'armée impériale. D'abord envisagé comme une série en prises de vue réelle, Sapporo commande finalement une série d'animation à Tatsunoko[12]. Les deux entreprises avaient déjà collaboré pour produire la série Le Petit Prince orphelin en 1970. Tatsunoko souhaite donc remercier Sapporo, et ce dernier fourni un budget attrayant pour produire Ketsudan. L'aspect très réaliste des dessins, sur lequel insiste Kojima et des vétérans de guerre, entraîne beaucoup de difficulté pour le studio qui accumule du retard dans la seconde partie de la production. Les équipes se heurtent aussi au conflit qui oppose Kojima et le scénariste de Tatsunoko Hisayuki Toriumi. En effet, ce dernier souhaite mettre l'accent sur l'aspect dramatique des événements, alors que Kojima est pour une approche directe et historiques des actions. Finalement, Kojima obtient le dernier mot et contraint Toriumi a abandonné le poste de scénariste sur la série[12]. Les personnages sont dessinés de façon très réaliste avec beaucoup de détails, ce qui gêne beaucoup l'équipe d'animateurs. La série n'obtient pas autant d'audience que les précédentes création de Tatsunoko.
La fin des années 1960 et le début des années 1970 sont très difficile pour l'ensemble de l'industrie de l'animation. Après avoir connu une forte expansion économique dans la décennie suivant la Seconde Guerre Mondiale, le Japon fait face à une crise. Plusieurs studios sont dans la tourmente à cause de la hausse des prix. Une grève importante touche la Toei en 1971 après plusieurs années de gestion chaotique[13].
Tatsunoko parvient tout de même à renouer avec le succès avec Kagaku ninja-tai Gatchaman en 1972[14]. Imaginé par Jinzō Toriumi et Satoshi Tōyama, la série s'inspire des mangas Sekai shōnen-tai et Ninja Butai Gekkō[15]. Elle s'inscrit dans l'émergence des séries de science-fiction de l'époque, portée par le succès des Sentinelles du Ciel et de Kamen Rider, et influencera ensuite les séries Super Sentaï. À la manière de Judo Boy, Gatchaman aborde plusieurs sujets proches de problèmes sociétaux actuels, tout en étant une série d'actions à destination des enfants avec des combats de mecha. Elle se fait aussi remarquer pour son animation détaillante. Certains épisodes nécessitent jusqu'à 10 000 celluloïds, contre les 5 000 ou 6 000 habituels[16].
La crise économique se poursuit et entraîne notamment la fermeture du studio Mushi Production fondé par Osamu Tezuka. De nombreux autres studios doivent fermer et/ou de licencier des employés. Mais, l'impact de la crise paraît minime, voire bénéfique. Tatsunoko devient plus indépendant et connaît une expansion commerciale entre 1971 et 1974 avec aussi l'ouverture d'une division dédiée à la publicité pour la télévision et la fondation de Tatsunoko Land qui conçoit des produits dérivés. Il signe également un contrat avec un studio coréen pour sous-traiter ses travaux, ce qui aurait entraîné des tensions entre la direction et le syndicat qui jugeait cela comme de la concurrence déloyale. L'animation de Casshern est réalisé en grande partie avec d'autres studios et d'anciens employés de la Toei et de Mushi (qui formeront plus tard le studio Sunrise). Entre 70 et 80 employés quittent Tatsunoko en 1974[13].
Pour faire suite à Gatchaman, Tatsunoko commence la production d'une nouvelle série d'actions : Shinzō Ningen Casshern. Cependant, le succès de Gatchaman permet à la série d'être prolongée un an de plus. Casshern est donc diffusé en parallèle entre 1973 et 1974, sur un autre créneau horaire de la chaîne TV Tokyo. Cela provoque quelques restrictions budgétaires, par exemple de photographier Gatchaman sur une pellicule 35 mm et Casshern sur une 16 mm[17]. Il s'agit aussi de la première série que Tatsunoko finance en majorité en interne, grâce notamment à Tatsunoko Land[13]. Pour ne pas perturber le créneau horaire habituellement réservé aux séries féérique et légère de Tatsunoko, Casshern intègre aussi des éléments proche du conte avec des décors évoquant la Scandinavie et ses châteaux, l'objectif du héros principal qui est de trouver son humanité à la manière de Pinocchio, ou la transformation de sa mère en cygne comme dans le ballet de Tchaïkovski. Flender, le robot canin du héros, est inspiré du manga Maken Gorō qu'Hiroshi Sasagawa (aussi réalisateur de Casshern) dessine dans le magazine Weekly Shōnen King. Enfin, la série trouve beaucoup d'inspiration dans Kamen Rider dont la diffusion à commencer en 1971. Le choc pétrolier de 1973 et le bouleversement économique que cela entraîne, provoque son interruption précipitée.
Avec le succès du film Opération Dragon sorti en 1973, le kung-fu connaît un succès important. Cela influence la nouvelle série d'actions de Tatsunoko Production : Hurricane Polymar. Les séquences d'actions sont en partie inspirées par celle de Bruce Lee, Kazuyuki Sogabe, l'interprète du héros principal, visionne plusieurs de l'acteur sino-américain pour que son jeu ressemble à son modèle[18]. Il se démarque du genre mecha avec une apparence plus proche du tokusatsu[19]. Hurricane Polymar adopte un ton plus léger que les précédentes séries d'action de Tatsunoko et trouve aussi son inspiration dans les comics books étasuniens[20]. Tatsunoko continue d'être influencer par les oeuvres récentes avec sa nouvelle série Uchū no Kishi Tekkaman. Cette dernière s'inspire des films catastrophes comme La Submersion du Japon (1973) et La fin du monde d'après Nostradamus (1974), mais aussi des préoccupations de son temps comme la pollution[20]. Malgré les innovations que Tekkaman proposent dans son animation notamment l'utilisation d'un Scanimate pour son générique d'ouverture[21], la série ne recontre pas le succès attendu. A la manière de Space Battleship Yamato, le nombre d'épisode est réduit et la série est arrêtée avant la date prévue et sans conclure son histoire[22].
Depuis 1973, Tatsunoko souhaite faire une série beaucoup plus légère après avoir principalement produit des séries d'actions. Inspiré par La Grande Course autour du monde (1965), le studio imagine mêlant véhicules motorisés et voyage dans le temps. Ce mélange des genres a dû mal à convaincre de potentiel sponsor et le studio doit attendre trois ans avant de pouvoir lancer la production de la série Time Bokan. Alors qu'elle était prévu pour ne faire que 26 épisodes, la série est bien accueilli et est prolongée jusqu'à atteindre les 61 épisodes. Le studio lance aussi la production de sa première série de mecha avec Gowappa 5 Gōdam qui est aussi la première série à placer un personnage féminin à la tête d'un groupe de héros. Cette dernière doit cependant faire face Goldorak de la Toei. Cette importante concurrence impacte les audiences de Gowappa 5 Gōdam qui est change son horaire de diffusion dans l'espoir de les augmenter. Malgré la tentative de faire de Godam un robot combiné (à la manière de Getter Robo diffusé de 1974 à 1975), la série ne trouve pas suffisament son public et est arrêtée après 36 épisodes.
Filmographie[]
Coproduction | |
Coopération de production |
Séries télévisées[]
Années 1960 | ||
---|---|---|
Année | Titre | Réalisateur |
1965-1966 | Space Ace | Hiroshi Sasagawa |
1967-1968 | Speed Racer | |
Oraa Guzura Dado | ||
1968-1969 | Dokachin | · Hiroshi Sasagawa · Seitarō Hara |
1969 | Judo Boy | Ippei Kuri |
1969-1970 | Hakushon Daimaō | Hiroshi Sasagawa |
Années 1970 | ||
Année | Titre | Réalisateur |
1970-1971 | Le Petit Prince orphelin | Ippei Kuri |
1970-1972 | Inakappe Taishō | Hiroshi Sasagawa |
1971-1972 | Kaba Totto | |
1971 | Ketsudan | Ippei Kuri |
1972 | Les Aventures de Pinocchio | Seitarō Hara |
1972-1974 | Kagaku ninja-tai Gatchaman | Hisayuki Toriumi |
1972-1973 | Kaiketsu Tamagon | Hiroshi Sasagawa |
1973 | Démétan, la petite grenouille | |
1973-1974 | Shinzō Ningen Casshern | |
1974 | Konchū Monogatari: Shin Minashigo Hutch | Seitarō Hara |
1974-1975 | Urikupen Kyūjotai | Hiroshi Sasagawa |
Hurricane Polymar | Hisayuki Toriumi | |
1974-1976 | Tentōmushi no Uta | Hiroshi Sasagawa |
1975 | Uchū no Kishi Tekkaman | · Hiroshi Sasagawa · Hisayuki Toriumi |
1975-1976 | Time Bokan | Hiroshi Sasagawa |
1976 | Gowappa 5 Gōdam | Hisayuki Toriumi |
1976-1977 | Paul no Miraculous Daisakusen | Hiroshi Sasagawa |
1977-1979 | Yatterman | |
1977-1978 | Ippatsu Kanta-kun | |
Fūsen Shōjo Temple-chan | Seitarō Hara | |
Tobidase! Mashīn hiryō | - | |
1978-1979 | Il était une fois.... l'Homme | Albert Barillé |
Kagaku ninja-tai Gatchaman II | · Hiroshi Sasagawa · Hisayuki Toriumi | |
1979-1980 | Zenderman | Hiroshi Sasagawa |
1979-1981 | Tōshi Gōdian | · Masamine Ochiai · Kunihiko Okazaki |
1979-1980 | Kagaku ninja-tai Gatchaman F | Hisayuki Toriumi |
Années 1980 | ||
Année | Titre | Réalisateur |
1980 | Mori no Yōki na Kobitotachi: Belfy to Lillibit | Masayuki Hayashi |
1980-1981 | Time Patrol Tai Otasukeman | Hiroshi Sasagawa |
Rolling Star le Justicier | Seitarō Hara | |
1981-1982 | Yattodetaman | Hiroshi Sasagawa |
Ōgon Senshi Gold Lightan | Kōichi Mashimo | |
Dash Kappei | · Masayuki Hayashi · Seitarō Hara | |
Anime Oyako Gekijō | Osamu Sekita | |
1982-1983 | Gyakuten! Ippatsuman | Hiroshi Sasagawa |
Tondera Hausu no Daibōken | · Masakazu Higuchi · Mineo Fuji | |
The Super Dimension Fortress Macross | Noboru Ishiguro | |
1983 | Super Durand | Kōichi Mashimo |
PC Travel Tantei-dan | Masakazu Higuchi | |
Itadakiman | Hiroshi Sasagawa | |
1983-1984 | Mospeada | Katsuhisa Yamada |
1984 | Okawari-Boy Starzan S | Hidehito Ueda |
Chōjikū Kidan Southern Cross | Yasuo Hasegawa | |
1984-1985 | Yoroshiku Mechadoc | Hidehito Ueda |
1985 | Julie et Stéphane | |
1985-1986 | Shōwa aho sōshi akanuke ichiban! | |
1986 | Cynthia ou le Rythme de la vie | Tomomi Mochizuki |
1986-1987 | Doteraman | Shinya Sadamitsu |
1987 | Akai Kōdan Zillion | Mizuho Nishikubo |
1987-1988 | Oraa Guzura Dado (deuxième série) | Hiroshi Sasagawa |
1989-1990 | Tenkū Senki Shurato | Mizuho Nishikubo |
Konchū Monogatari: Minashigo Hutch (deuxième série) | Iku Suzuki | |
Années 1990 | ||
Année | Titre | |
1990-1991 | Kyatto Ninden Teyandee | Kunitoshi Okajima |
Les Aventures de Robin des Bois | Kōichi Mashimo | |
1992-1993 | Uchū no Kishi Tekkaman Blade | Hiroshi Negishi |
1993 | Musekinin Kanchō Tairā | Kōichi Mashimo |
1994-1995 | La Légende de Blanche-Neige | Tsuneo Ninomiya |
1995-1996 | Neon Genesis Evangelion | Hideaki Anno |
Dokkan! Robotendon | Hiroshi Sasagawa | |
1996 | Cendrillon | |
1997 | Speed Racer X | |
1998 | Generator Gawl | Seiji Mizushima |
1999 | Seikimatsu Densetsu Wonderful Tatsunoko Land | Hiroshi Sasagawa |
Années 2000 | ||
Année | Titre | |
2000 | Time Bokan 2000: Kaitou Kiramekiman | Hidehito Ueda |
2001 | The SoulTaker | Akiyuki Shinbo |
2001-2002 | Yobarete Tobedete! Akubi-chan | Hiroshi Sasagawa |
2006 | Akubi Girl | |
2008 | Mach Girl | Takashi Yamada |
2008-2009 | Yatterman (deuxième série) | Hiroshi Sasagawa |
Casshern Sins | Shigeyasu Yamauchi | |
2009-2010 | Beyblade: Metal Fusion | Kunihisa Sugishima |
Années 2010 | ||
Année | Titre | |
2010-2011 | Tachumaru | OKN |
2011 |
C |
Kenji Nakamura |
2011-2012 | Sket Dance: Le club des anges gardiens | Keiichiro Kawaguchi |
Pretty Rhythm: Aurora Dream | Masakazu Hishida | |
2011-2013 | Ohayō ninja-tai Gatchaman | - |
2012-2013 | Pretty Rhythm: Dear My Future | Masakazu Hishida |
2013 | Muromi-san | Tatsuya Yoshihara |
Gatchaman Crowds | Kenji Nakamura | |
Yozakura Quartet: Hana no Uta | Ryochimo Sawa | |
2013-2014 | Pretty Rhythm: Rainbow Live | Masakazu Hishida |
2014 | Wake Up, Girls! | Yutaka Yamamoto |
2014 | Ohayō Hakushon dai maō | - |
Longs métrages[]
Année | Titre | Réalisateur |
---|---|---|
1978 | Gekijō-ban Kagaku ninja-tai Gatchaman | Hisayuki Toriumi |
1979 | Kaitō Lupin 813 no nazo (téléfilm) | Hiroshi Sasagawa |
1981 | Kaiteidaisensō ai no 20000-mairu (téléfilm) | Ippei Kuri |
1984 | Macross, le film | · Noboru Ishiguro · Shōji Kawamori |
1997 | Evangelion: Death and Rebirth | · Hideaki Anno · Masayuki · Kazuya Tsurumaki |
2009 | Gekijō-ban Shin Yatterman Dai Shūgō! Omocha no kuni de daisakusenda koron! | Hiroshi Sasagawa |
2010 | Konchū Monogatari: Mitsubachi Hutch: Yūki no Merodī | Tetsuro Amino |
2014 | Wake Up, Girls! - Seven Idols | Yutaka Yamamoto |
2014 | Gekijō-ban Pretty Rhythm All Star Selection: Prism Show☆Best Ten | Masakazu Hishida |
OVA[]
Année | Titre | Nb. éps. |
---|---|---|
1985 | Mospeada: Love Live Alive | 1 |
1986 | Outlanders | 1 |
1987 | The Super Dimension Fortress Macross: Flash Back 2012 | 1 |
1988 | Akai Kōdan Zillion: Burning Night | 1 |
1989-1990 | Tenkū Senki Shurato: Tenkū-kai Memorials | |
1991-1992 | Tenkū Senki Shurato: Sōsei e no antō | 6 |
1993-1994 | Casshern: Robot Hunter | 4 |
Time Bokan Ōdōfukko | 2 | |
1994-1995 | Gatchaman | 3 |
Uchū no Kishi Tekkaman Blade II | 6 | |
1996-1997 | Hurricane Polymar: Holy Blood | 2 |
2002-2004 | Nurse Witch Komugi | 6 |
2004 | Nurse Witch Komugi-chan Magikarte Z | 2 |
2004-2009 | Sky Kids Booby | 3 |
2005-2007 | Karas | 6 |
2010-2011 | Yozakura Quartet: Hoshi no Umi | 3 |
Princesse résurrection | 3 | |
2012 | A Town Where You Live: Twilight Intersection | 2 |
Ippatsuhitchū!! Devander | 1 | |
2013 | Peeping Life -Tezuka Pro / Tatsunoko Pro Wonderland- | 1 |
2013-2014 | Transformers Go! | 10 |
Voir aussi[]
Références[]
- ↑ 1,0 1,1 1,2 et 1,3 (en) Matteo Watz, "The History of Tatsunoko – 1 – Early Days", Animétudes, 22 janvier 2022 [lire en ligne]
- ↑ (jp) Kikan fantōshu, 1997, n°7
- ↑ (jp) Nobuyuki Tsugata, TV anime yoake mae shira rezaru Kansai-ken animēshon kōbō-shi, Nakanishiya Publishing, 2012 (ISBN 978-4-7795-0652-9)
- ↑ (jp) "1971-Nen hōsō no gyagu anime "Kabatotto", rainen de 50-shūnen! Sasagawa hiroshi kantoku no mita tatsunokopuro sōsei-ki no arekore" (1), Akiba Sôten, 24 octobre 2020 [lire en ligne]
- ↑ (jp) "1971-Nen hōsō no gyagu anime "Kabatotto", rainen de 50-shūnen! Sasagawa hiroshi kantoku no mita tatsunokopuro sōsei-ki no arekore" (2), Akiba Sôten, 24 octobre 2020 [lire en ligne]
- ↑ (jp) "Space Ace", Tatsunoko Production[lire en ligne]
- ↑ (jp) "Mach GO GO GO", Tatsunoko Production [lire en ligne]
- ↑ 8,0 et 8,1 (en) Matteo Watz, "The History of Tatsunoko – 2 – Experimental anime", Animétudes, 29 janvier 2022 [lire en ligne]
- ↑ (en) The New York Times, 1851-2022, 22 septembre 1967
- ↑ (jp) Makoto Hoshi, ""Kurenai Sanshirō" iwai hōei 50-shūnen", Anime ni kansya, 28 avril 2019 [lire en ligne]
- ↑ (en) Matteo Watz, "The History of Tatsunoko – 3 – Mecha animations", Animétudes, 12 février janvier 2022 [lire en ligne]
- ↑ 12,0 et 12,1 (jp) Osamu Tajima, Sekai no kodomo-tachi ni yume o -Tatsunoko Prod sōshi-sha tensai Yoshida Tatsuo no kiseki, Mediax, 2013 (ISBN 978-4-8620-1653-9)
- ↑ 13,0 13,1 et 13,2 (en) Matteo Watz, "The History of Tatsunoko – 4 – Difficult times", Animétudes, 19 février 2022[lire en ligne]
- ↑ (jp) "Tatsunoko sakuhin to shichō-ritsu", Tatsunoko Seikaiisan[archive]
- ↑ (jp) タツノコプロ(公式)@tatsunoko_pro "「科学忍者隊ガッチャマン」というタイトルだが、作品は忍者?", Twitter, 22 août 2011 [consulter]
- ↑ (jp) DARTS, Kagaku Ninja-tai Gatchaman Zensho Zōho Kaichōban 1972-2000, Asahi Sonorama, 2000 (ISBN 978-4-2570-3621-0)
- ↑ (jp) Columbia Music Entertainment, "Brochure", Shinzō Ningen Casshan Complete DVD-Box (2008)
- ↑ (jp) Za seiyū 1995, Mediax, 1994
- ↑ (en) Matteo Watz, "The History of Tatsunoko – 6 – Repetitions", Animétudes, 12 mars 2022[lire en ligne]
- ↑ 20,0 et 20,1 (jp) DARTS, "Tatsunoko Heroes" 70-nendai Tatsunoko 4 dai heroe shūgō!!, Asahi Sonorama, 2001 (ISBN 978-4-2570-3623-4)
- ↑ (jp) Hiroshi Sasagawa, buta mo odaterya ki ni noboru watashi no manga michi to anime-dō, Wanibooks, 2000 (ISBN 978-4-8470-1358-4)
- ↑ (jp) Ryūsuke Hikawa, Anime shinseki ōdō hiden-sho, Tokuma Shoten, 2000 (ISBN 978-4-1986-1216-0)
Production | ||
---|---|---|
Hideaki Anno · Kazuya Tsurumaki · Masayuki · Yoshiyuki Sadamoto · Ikuto Yamashita · Moyoco Anno | ||
Réalisateurs | Hideaki Anno Kazuya Tsurumaki · Masayuki · Katsuichi Nakayama · Mahiro Maeda Akira Takamura · Hiroyuki Ishido · Keiichi Sugiyama · Ken Ando · Masahiko Otsuka · Naoyasu Habu · Seiji Mizushima · Shoichi Masuo · Tensai Okamura · Tetsuya Watanabe · Tsuyoshi Kaga | |
Scénaristes | Akio Satsukawa · Shinji Higuchi · Yōji Enokido Hiroshi Yamaguchi · Kazuya Tsurumaki · Mahiro Maeda · Mitsuo Iso · Ryotaro Yoshikawa · Yoshiki Sakurai | |
Storyboarders | Kazuya Tsurumaki · Masayuki Daizen Komatsuda · Mahiro Maeda · Shinji Higuchi Akira Oguro · Atsushi Nishigori · Hiroaki Gohda · Hiroyuki Ishido · Junichi Sato · Ikki Todoroki · Katsuichi Nakayama · Keiichi Sugiyama · Kiichi Hadame · Masaki Tachibana · Sayo Yamamoto · Soichi Masui · Tensai Okamura · Tomoki Kyoda · Tsuyoshi Kaga | |
Animateurs | Hidenori Fukuoka · Hisaki Furukawa · Katsuichi Nakayama · Kazuya Tsurumaki · Masayuki · Noriko Morishima · Shigeki Sunada · Shinya Hasegawa · Shōichi Masuo · Shunji Suzuki · Tadashi Hiramatsu · Takeshi Honda · Yoh Yoshinari Atsushi Okuda · Daizen Komatsuda · Eiichi Kuboyama · Hidenori Matsubara · Hideyuki Morioka · Hiroyuki Imaishi · Kayoko Nabeta · Kazuchika Kise · Kenji Irie · Kiichi Takaoka · Mahiro Maeda · Manabu Tanzawa · Masahiro Sekiguchi · Mitsuo Iso · Miyako Yatsu · Nobutoshi Ogura · Satoshi Shigeta · Shigeto Koyama · Shinji Sowa · Shiro Kudaka · Sushio · Takashi Hashimoto · Toshiya Washida · Yasushi Muraki · Yoshiyuki Sadamoto | |
Producteurs | Hiroyuki Yamaga · Manabu Ishikawa · Mitsuhisa Ishikawa · Tomoyuki Ogata · Toshimichi Otsuki Akiko Odawara · Motoki Ueda · Muneki Ogasawara · Noriko Kobayashi · Norio Ikeguchi · Shuji Uchiyama · Takuma Kuramasu · Teruaki Sanematsu · Tsuguhiko Kadokawa · Yūki Sugitani · Yutaka Sugiyama | |
Entreprises liées | Studios d'animation : Gainax · Khara · Production I.G · Tatsunoko Production Producteurs : Kadokawa Shoten · King Records · Movic · Nihon Ad Systems · Sega · TV Tokyo Distributeurs : T-Joy · The Klockworx · Toei Animation · Tōhō Liste des entreprises ayant travaillé sur Neon Genesis Evangelion · Liste des entreprises ayant travaillé sur Rebuild of Evangelion | |
Version française | ||
Producteurs | Carlo Lévy · Federico Colpi · Naoya Otsuka · Matthieu Lancrenon · Carla d’Alberto · Fouzia Youssef | |
Traducteurs | Anne-Sophie Thévenon · Anthony Dal Molin · Anthony Prezman · David Deleule · David Melina · Margot Verdier · Olivier Prézeau · Rachel Danglard · Régis Ecosse · Satoko Fujimoto · Wako Miyamoto | |
Entreprises liées | Dybex · Manga Vidéo · Glénat · Tonkam Chinkel Productions · Lylo · Les studios de Saint Maur · VF Productions · VSI Paris |